nos pone complicados : esta tarde
con avenidas rápidas y a las seis es de noche
descubro la vergüenza
de no saber llegar al centro de otras vidas
si no es mediante pobres abstracciones.
La de que no hay vidas sino vida,
por ejemplo, y por tanto
la mía sea la de todos.
Se encienden las ventanas "
Álvaro García.
***
regarde les gens vont vers le métro
il est matin, à quelqu’un
personne ne veut donner d’argent
– quoi – rien, je dis simplement que la pluie
commence à tomber, les 2 petits frères
font des plocs-fusillades avec la bouche
est-ce qu’on peut capter le paysage
parsemé sous les crânes et déduire
le ciel de 258 vies
regarde les jeunes hommes parlent arabe
dans le train, on amasse en vain
leurs voix indéchiffrables
heureusement dans le livre Pasternak réussit à écumer
les lentilles de l’étang des jours, on tourne les pages
comme
comme courir sur une aurore de mousse mouillée
– quoi – rien, rien je dis seulement
que le ciel ne va pas se lever
em Les Amours Suivants, Stéphane Bouquet, 2013
***
Sem comentários:
Enviar um comentário